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MYTHES ET RÉALITÉSVACCINATIONS

Des dizaines d’années d’athéisme m’ont permis d’essayer de distinguer la part de croyances de celle de la réalité. On peut douter de toute affirmation sans bases sérieuses étudiées.

Le doute entraîne la recherche du meilleur choix épistémologique avec pour principes de base la justice, le respect et l’égalité des êtres vivants.

Celui qui croit veut adapter le monde à ses croyances, celui qui voit essaye de corriger ses erreurs.

Autrement dit : les prosélytes de l’économie de marché prennent leurs désirs pour des réalités et essaient de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

Au sujet des vaccination et le matraquage médiatique selon lequel elles seraient « la solution » pour éradiquer les maladies, étant personnellement opposé à cet acte que je considère comme un crime contre l’humanité, je ne peux que défendre la liberté du choix de chacun à se faire vacciner sous réserve d’une information totale sur les résultats obtenus et les effets nocifs de ces injections et de contre expertises indépendantes quant aux tests des labos.

La croyance selon laquelle des épidémies seraient éradiquées grâce à des vaccinations remonte aux expériences truquées de Pasteur, politicien prêt à tout pour se faire valoir et responsable de nombreuses morts. l’efficacité des vaccins n’a jamais été prouvée, bien au contraire ils ont amplifié les contaminations.

Voir l’exemple sur la polio*qui peut s’appliquer aux autres maladies infectieuses.

Comme en religion la croyance devient vérité dont nul ne doit douter. Et ce n’est pas en mettant à la tête de l’OMS la responsable de l’obligation vaccinales pour les enfants que cela va changer.

Pour les vaccins covid on constate déjà de nombreux effets secondaires et des décès non négligeables et nonobstant la propagande continue ; même les humoristes tiennent des discours pro-vaccination. Il n’est permis aucune contestation ni aucun recul.

Et quand la pandémie cessera ils l’attribueront aux vaccinations comme ils l’ont fait pour d’autres maladies sans tenir compte des démentis médicaux.

  Bruno.

* La poliomyélite

Le virus de la polio, qui se transmet par voie orofécale, est un germe commensal (entérovirus) qui se loge, sans nous inquiéter, dans nos intestins où dans la majorité des cas il fait se développer une immunité durable qui protège l’individu toute sa vie. La maladie s’exprime lorsque le virus traverse la muqueuse intestinale pour rejoindre les centres nerveux. D’autres entérovirus (ECHO et coxsackie) réalisent avec le virus de la polio un équilibre écologique dont peut dépendre la maladie et son degré de gravité si cet équilibre vient à se rompre.

C’est l’assainissement et l’eau potable (grâce au chlore) qui ont fait disparaître les virus polio sauvages dans les pays développés, tout comme les germes de la typhoïde et du choléra. L’OMS a déclaré l’Europe indemne de polio en 2002, où on ne recense aucun virus sauvage. Le vaccin est venu compliquer la situation car il a engendré des virus mutants d’origine vaccinale (surtout après le vaccin oral) et ce sont eux qui provoquent aujourd’hui des paralysies flasques, très souvent non recensées comme polio. C’est pour cette raison que l’éradication mondiale de la polio, promise pour l’an 2000, ne peut toujours pas être annoncée par l’OMS. Outre le fait que le vaccin peut donner la maladie ou une maladie semblable, d’autres pathologies post vaccinales ont été observées, notamment des fatigues chroniques. Il ne faut pas oublier que les vaccins fabriqués dans les années 1960 sur reins de singes avaient été contaminés par un virus cancérogène, le SV40, susceptible de provoquer des cancers chez les vaccinés et dans leur descendance. Pourquoi continuer une vaccination potentiellement dangereuse, alors que la maladie est en voie d’extinction presque partout dans le monde? La France, qui a maintenu une loi d’obligation pour ces vaccins, aurait tout intérêt à modifier la législation en donnant la liberté de choix afin d’éviter un gaspillage des deniers publics et un risque post vaccinal beaucoup plus élevé que celui des maladies concernées. Est-ce raisonnable de remplacer un risque infectieux infime et hypothétique par un risque vaccinal réel susceptible de déboucher sur des maladies chroniques très invalidantes ? La politique vaccinale doit se mettre en conformité avec le principe du consentement, exprimé dans la loi Kouchner, et respecter le principe de précaution.

Le tétanos

II est surprenant de constater à quel point la peur du tétanos imprègne l’imaginaire. Elle est totalement irrationnelle et fantasmatique pour les raisons suivantes:

  • le tétanos n’est pas une maladie contagieuse,
  • le tétanos n’est pas une maladie immunisante,
  • le tétanos n’est pas une maladie fréquente,

le tétanos nécessite des conditions très particulières pour se développer,

  • le tétanos peut être guéri,
  • le tétanos n’affecte pas les enfants (sauf de rarissimes exceptions),
  • seule la toxine de certains bacilles de Nicolaier est dangereuse.

Tous ces éléments font du tétanos une maladie rare et non redoutable, mais on en a véhiculé une image totalement déformée au point de distiller la peur dans tous les esprits.

Les spores tétaniques qui existent dans la nature doivent se trouver dans un milieu totalement privé d’oxygène pour qu’il y ait un danger, car le bacille est un anaérobie strict, cela veut dire que la maladie ne peut pas se développer si le bacille est en contact avec de l’oxygène, même en petite quantité. Il faut donc que les plaies soient fermées et nécrosées (mortes) sans vascularisation puisque le sang véhicule de l’oxygène. Dans ce type de plaie peuvent aboutir des terminaisons nerveuses vers lesquelles va se diriger la toxine produite par le bacille après germination (à noter que les bacilles tétaniques ne produisent pas tous la toxine). C’est alors que la maladie peut se déclencher car, une fois présente dans le système nerveux, rien n’est plus capable d’arrêter la toxine. La vaccination à base d’anatoxine (toxine tétanique atténuée) ne peut engendrer que des anticorps qui vont circuler dans le sang. Ces anticorps ne pourront donc jamais rencontrer la toxine présente dans un tissu nécrosé ou dans une terminaison nerveuse (non irrigués), ils seront donc inopérants pour éviter la maladie. Il est ainsi facile de comprendre pourquoi le tétanos n’est pas une maladie immunisante : c’est précisément parce qu’il n’y a pas de rencontre entre le système immunitaire et la toxine, donc jamais de production d’anticorps. On ne retrouve pas d’anticorps chez un malade guéri du tétanos, et pour cause.

La maladie ne touche pas les enfants car ils ont un système sanguin actif et un système immunitaire en plein fonctionnement. La Maladie atteint les personnes âgées ayant un système immunitaire déficient et des problèmes de circulation sanguine, voire des carences en magnésium ainsi que des plaies chroniques et d’autres problèmes de santé qui affaiblissent leur organisme.

Le tétanos est très certainement aussi une maladie très fortement liée au «terrain» des individus. Un tétanos peut se produire sans qu’il y ait de porte d’entrée, chez les grands brûlés par exemple. La maladie serait-elle d’origine endogène ? Des milliers de personnes se piquent chaque année sans déclarer un tétanos. D’ailleurs, les chiffres parlent d’eux mêmes: comme c’est une maladie à déclaration obligatoire on connaît avec précision le nombre de malades. Ainsi dénombre-t-on chaque année une vingtaine de cas dont très peu sont mortels. Les progrès en réanimation permettent de sauver les gens en milieu hospitalier. Ne pas oublier que le chlorure de magnésium est souverain contre le tétanos, la diphtérie et la polio, n’en déplaise aux autorités qui refusent de reconnaître ses vertus (attention, il s’agit de suivre des prescriptions particulières). Dans ces conditions, pourquoi vacciner avec un vaccin sans effet et pour une maladie si peu fréquente et qui n’est pas contagieuse? Sans oublier que le vaccin (qui contient un adjuvant à base d’aluminium) provoque toute une série d’effets secondaires répertoriés dans la littérature médicale [voir encadré]. Pour quelle raison maintenir cette protection illusoire et mettre en danger la santé des bien portants?

La diphtérie

Cette maladie, qui présentait parfois des formes graves, a disparu d’Europe occidentale. La transmission par voie aérienne du bacille de Lôffler fait de la diphtérie une maladie facile à enrayer par la surveillance épidémiologique, et lorsqu’un cas isolé apparaît dans nos régions (la maladie ayant été contractée à l’étranger), le problème est immédiatement maîtrisé. Rien ne justifie donc la poursuite de la vaccination. Comme avec tous les vaccins, des effets indésirables de gravité diverse sont signalés, notamment des réactions neurologiques («Guide des vaccinations», 2006). En outre, le vaccin (une anatoxine) vise la toxine et non le germe, il est sans effet sur le portage. Les mesures d’hygiène et de salubrité ont fait disparaître cette maladie. Pourquoi donc continuer à vacciner contre une maladie du passé, qui en outre est facilement guérissable?

La rougeole, la rubéole et les oreillons ont longtemps été considérés comme des maladies de l’enfance bénignes et même utiles. Il est vrai qu’il y a quelques cas de complications sévères de la rougeole, mais celles-ci sont exceptionnelles et touchent surtout des adolescents et des adultes. Or la maladie immunise à vie tandis que le vaccin n’est efficace que quelques années et multiplie donc la survenue de la maladie à un âge où il y a davantage de risques de complications. En outre, différents travaux ont montré que le vaccin contre la rougeole était à l’origine de cas d’autisme chez les enfants. La vaccination contre la rubéole ne se justifie qu’à l’âge adulte, en raison des risques de malformation congénitale, quand elle touche une femme enceinte. La coqueluche faisait aussi partie autrefois des maladies bénignes de l’enfance, même si c’est une maladie pénible. Elle n’est qu’exceptionnellement grave, les risques concernant surtout les nourrissons, à un âge où ils ne sont d’ailleurs pas vaccinés. Le vaccin a parfois des effets secondaires neurologiques. Lui aussi ne protège que quelques années, contrairement à la maladie. Depuis la généralisation du vaccin, on voit se multiplier les cas de coqueluches chez des nourrissons contaminés par des adultes vaccinés dans l’enfance, mais qui ne sont plus immunisés.

Et l’hépatite B?

Les vaccins contre les pneumocoques et contre les haemophilus b (Hib) sont recommandés dans la prévention des méningites des nourrissons. Leur efficacité est en fait limitée à un petit nombre de celles-ci. Les seconds sont été mis en cause pour leurs effets allergisants. Enfin, le vaccin contre l’hépatite B est bien connu pour ses accidents sévères, y compris chez des jeunes enfants. Hormis le cas exceptionnel d’enfants vivant au contact de parents contaminés ou voyageant dans quelques pays tropicaux où sévit la maladie, les enfants ne sont jamais touchés par cette maladie qui se transmet par le sang et le sexe et touche avant tout des jeunes adultes. Sous l’influence du lobby des fabricants, les autorités persistent à vouloir vacciner tous les jeunes enfants avec le vaccin hépatite B, par le biais du vaccin hexavalent. « Une manière de vacciner les enfants contre cette maladie à l’insu des parents », dénonce le Dr Le Houezec, pédiatre et conseiller du Revahb, l’association des victimes du vaccin hépatite B (www. revahb)

Ci-dessous la lettre envoyée à la presse (non parue pour l’instant) et à quelques élus de la Comcom à la suite de leurs revendications.

Vous vous trompez de combat.

Messieurs Savy, Galy, Mamet, El Habchi et Chanaud s’offusquent qu’il n’y ait point de centre de vaccination dans la Haute Vallée bien que cela puisse être une chance étant donné que ces injections de substances expérimentales n’ont pas démontré leur bien fondé ; le gouvernement lui même reconnait les incertitudes de tels actes.

J’ajouterai que ces injections ne sont pas des gestes anodins et mettent en danger la santé de tous.

Finalement, les élus de la comcom soutiennent la politique sanitaire dictatoriale du gouvernement Droite, Gauche, Centre de M. Macron.

On ne les a pas entendus protester contre le pass sanitaire imposé à la population et en particulier aux métiers de l’art et aux commerces de réception comme les cafés et les restaurants qui n’ont d’autre alternative que de demander un justificatif aux clients et perdre la moitié de leur clientèle ou ne rien demander et risquer une amende suivie d’une fermeture administrative. C’est ça la réalité de la vie de tous les jours, messieurs.

Il est vrai que c’est peut être plus populaire d’aller dans le sens de la majorité, de collaborer avec ce qui semble le plus protecteur à la suite du matraquage éhonté des médias distillant la peur.

De plus cette discrimination liberticide est illégale eu égard au droit Européen et aberrante d’un point de vue logique si on y réfléchit un tant soi peu.

Toutes les dictatures ont commencé avec l’accord de la majorité des partis politiques.

Enfin, vous savez pour qui vous avez voté, les masques tombent.

Bruno Pradès, Président de l’association Transparence (lutte contre les abus de pouvoir).

 Septembre 2021.

SCIENCE DÉVOYÉE.

Version prosaïque.

Quand les croyances deviennent certitudes se développent alors les religions et les premières accusations contre les hérétiques qui vont de la sorcellerie à l’implication dans les malheurs du monde, puis les persécutions pour les convaincre de se soumettre et enfin les pogroms.

Viendront en sus les morts dues aux excès religieux : kamikazes, sacrifiés, cobayes, esprits dérangés, illuminés, fanatiques et co-impactés.

On peut l’appliquer au covid 19.

 

Version poétique.

Phase 1.

Quand les croyances deviennent certitudes

 se développent alors les religions

et les premières mauvaises habitudes

contre les non croyants, les accusations

Phase 2

de leur responsabilité dans les malheurs

du monde ou bien même de sorcellerie,

puis les persécutions pour asseoir la peur,

pour les soumettre à cette fumisterie.

Phase 3.

Enfin viendront les délations, les pogroms;

nous avons les exemples des temps passés

du pire quand sont manipulés les hommes,

nous suivons alors un chemin tout tracé.

Phase 4.

Puis déraperont les excès religieux,

les kamikazes, les esprits dérangés,

les fanatiques, les débiles envieux

et les sacrifiés, cobayes du danger.

 

On peut l’appliquer à la covid dix neuf ;

une omelette pour casser beaucoup d’œufs.

BPPJ. Novembre 2021.

 

 

 

LE TANGO DES IGNARES.

C’est un sacré tango
qu’ils dansent tous très mal,
bourré de trucs dingos,
de lieux communs banals.
Du bourrage de crânes
plein de contradictions;
même les pires ânes
n’oseraient ces actions.

Sûrs seraient leurs vaccins
sans pouvoir stipuler
si ce sera bien sain
de se l’inoculer,
ou même s’il protège
d’être contaminé
si dans le grand manège
errent les vaccinés.
Suivent les matraquages
des personnalités,
de tout l’aréopage,
toutes les nullités
qui n’y connaissant rien
servent la rhétorique
des croyances vaurien
de la pensée unique.

Ils ouvrent les églises
pour plaire à Dieu, au Diable,
pourvu qu’ils les élisent;
les croyants sont maniables.
L’art est minoritaire
et les artistes pensent,
autant les faire taire
en fermant leurs agences.
Et ce sacré tango,
celui de la terreur
continue tout de go
de distiller l’horreur.

Des masques aux minots
pour les rendre malades
nul ne sait le fin mot
d’une telle escalade.
Ce virus on le sait
est loin de les atteindre
pourquoi donc se presser
de ceci les contraindre?
Car voir et respirer
sont en fait nécessaires
pour se réaliser
messieurs les commissaires.
Encore ce tango,
trois pas sur les enfants
écrasés sous l’égo
de tyrans triomphants.

Tel un autodafé
des temps non révolus
restaurants et cafés
n’auront pas de salut.
Mais les supermarchés,
les transports, le métro
-il ne faut pas fâcher
les gens, ce serait trop-
peuvent rester ouverts,
accueillir du public
et semer à Vauvert
les germes pandémiques.
Dansez donc ce tango,
tels des hurluberlus,
au rythme des bongos
du pouvoir absolu.

BPPJ. Décembre 2020

SAINTE VACCINATION.

Et voilà revenue la sainte inquisition
quand nous sommes tenus au Dieu vaccination
seriné en prêchi-prêcha par les médias,
sans faire de chichis : ça tire à hue à dia.

Le dogme médical, né de moult tricheries
ou d’axiomes bancals, faits de la confrérie
bourrée de grands savants du corps pharmaceutique;
tels les Papes d’avant au culte catholique.

Trompeuse aberration qui conquiert l’univers,
tant ces médications portent d’effets pervers,
que d’aucuns mordicus croient qu’elles sauveront
de ces mauvais virus, qu’elles nous guériront.

Bien que par le passé, aucune épidémie
où nombreux trépassaient, n’ait eu une accalmie
des suites d’un vaccin; inverse fut l’action,
quantité de gens sains sont morts de l’injection.

Les dogmes sont ancrés, au profit sous constat
de firmes consacrées protégées par l’État
et les Nations Unies, guidées par des menteurs :
des crimes impunis dont on sait les auteurs.

BPPJ. Fin mai 2021.

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